Ces derniers temps, je réfléchis à comment remplacer la notion de « conflit » par exemple dans la narration. Et je me suis dit récemment que j’avais envie de plutôt m’attacher à la transformation du personnage. Que c’était un ressort finalement plus puissant encore, qui permet de créer un vrai attachement et un vrai intérêt et qui a le mérite d’être plus en adéquation avec l’envie de parler d’intime et de trouver des fins heureuses 😉
Merci en tout cas pour ce journal, toujours si généreux et passionnant.
Merci pour ton commentaire ! Clairement, l'idée de transformation m'intéresse moi aussi beaucoup plus que celle de conflit (mais assez souvent, c'est un conflit qui est à l'origine de cette transformation, quand même, non ?). En tout cas, c'est aussi souvent le propos des romans d'apprentissage ou des "coming-of-age stories", et je crois que j'aime encore plus l'idée de raconter comment un personnage devient davantage lui-même.
Je ne vois que maintenant ta réponse 🤓. J’ai lu ce matin la newsletter sur les utopies de Tchik Tchak qui fait écho : je me dis que la notion de dilemme dont elle parle peut être un ressort passionnant justement pour montrer un personnage en quête d’être « davantage lui-même ».
Merci pour ce journal d’écriture. Je trouve la question du rapport au temps, passionnante et notamment avec ce qu’on propose dans l’enseignement aux élèves. On appelle l’imparfait et le passé simple, les temps du récit et finalement, on s’aperçoit que c’est simpliste et dépassé à plein d’endroit. Ce sont des questions incroyables ( comme celui de la personne)
Oh, ce journal d'écriture me plaît tant ! Merci de le partager. Merci pour cette générosité là et pour ce que cela produit comme éblouissement : "on écrit parfois juste pour mieux savoir ce qu’on va écrire" et on lit parfois pour savoir au juste ce que l'on pense et pour comprendre, à travers les mots d'un•e autre, ce que l'on traverse. 🙏🏼
Ces derniers temps, je réfléchis à comment remplacer la notion de « conflit » par exemple dans la narration. Et je me suis dit récemment que j’avais envie de plutôt m’attacher à la transformation du personnage. Que c’était un ressort finalement plus puissant encore, qui permet de créer un vrai attachement et un vrai intérêt et qui a le mérite d’être plus en adéquation avec l’envie de parler d’intime et de trouver des fins heureuses 😉
Merci en tout cas pour ce journal, toujours si généreux et passionnant.
Merci pour ton commentaire ! Clairement, l'idée de transformation m'intéresse moi aussi beaucoup plus que celle de conflit (mais assez souvent, c'est un conflit qui est à l'origine de cette transformation, quand même, non ?). En tout cas, c'est aussi souvent le propos des romans d'apprentissage ou des "coming-of-age stories", et je crois que j'aime encore plus l'idée de raconter comment un personnage devient davantage lui-même.
Je ne vois que maintenant ta réponse 🤓. J’ai lu ce matin la newsletter sur les utopies de Tchik Tchak qui fait écho : je me dis que la notion de dilemme dont elle parle peut être un ressort passionnant justement pour montrer un personnage en quête d’être « davantage lui-même ».
« comment faire de l’intime et de la joie l’objet de romans qui soient pris au sérieux ? »
Merci pour ce journal d’écriture. Je trouve la question du rapport au temps, passionnante et notamment avec ce qu’on propose dans l’enseignement aux élèves. On appelle l’imparfait et le passé simple, les temps du récit et finalement, on s’aperçoit que c’est simpliste et dépassé à plein d’endroit. Ce sont des questions incroyables ( comme celui de la personne)
*celle de la personne
Merci merci merci encore encore encore 💜
Oh, ce journal d'écriture me plaît tant ! Merci de le partager. Merci pour cette générosité là et pour ce que cela produit comme éblouissement : "on écrit parfois juste pour mieux savoir ce qu’on va écrire" et on lit parfois pour savoir au juste ce que l'on pense et pour comprendre, à travers les mots d'un•e autre, ce que l'on traverse. 🙏🏼
oui lecture - écriture, même combat :-)
Chouette de te lire :)
Oui, moi aussi je donne des petits noms.
est-ce que tu as un livre qui est surnommé "cosmonautes" du coup ? (ce serait très chic) :-)
Haha, non, celui là je l'appelle "la chute" 😅
💕💕💕💕